Alors déjà, respect éternel à l’équipe de DBH, vive la FRANCE! Ils balancent leur jeu en accès anticipé avec une franchise rare : "On a pas fini, mais venez vous crasher dans le désert avec nous, ça va être cool."

Et tu sais quoi ? C’est cool. Ils veulent nos retours. Genre vraiment. Si tu trouves que ta voiture glisse comme une savonnette sur du carrelage mouillé ou que ton moteur explose dès que tu éternues, ils prennent des notes. Tu deviens littéralement co-développeur avec ton clavier et tes larmes. 🛠️ Ce qu’ils prévoient ? Du modding via Steam Workshop pour que tu puisses ajouter ta voiture, ton désert, et ta loi. Une physique retravaillée avec Havok, parce qu’apparemment, “se faire éjecter à 300 km/h dans un buisson” n’était pas encore assez réaliste. Un monde plus grand, plus vivant, avec plus de trucs à escalader, écraser ou transformer en base mobile faite de rouille et d’espoir. 🧪 Et maintenant ? Le jeu est déjà jouable. Tu peux personnaliser ta caisse, foncer dans des dunes, faire du drift sur du gravier, et crier "POUR LE RADIATEUR !" en versant ton urine dedans. Bon, tout n’est pas fini, parfois ça rame, parfois ça flotte, mais c’est du chaos maîtrisé, et on aime ça. 💸 Côté prix ? Ils te préviennent : c’est moins cher maintenant parce que tu joues à la bêta. Donc en gros, tu payes pour souffrir avec le sourire. Plus tard, ce sera plus cher, mais aussi plus complet. Win-win, comme on dit dans les garages de l’apocalypse. 👨‍🔧 En résumé : DBH, c’est pas juste un jeu de caisse. C’est un simulateur de bricolage sous acide, un bac à sable motorisé pour les poètes du cambouis. Ils t’ouvrent les portes du chaos mécanique, et ils te disent : “Viens. On va construire un monde ensemble. Avec des boulons et de l’amour.” Ha oui ! Y'a le jus de Mynthos ! 4 pneus sur 5 ⭐⭐⭐⭐☆